Le foncier est un des points cruciaux pour l'installation.
Les exploitations bretonnes, dont la taille ne cesse d’augmenter (dans les zones d’excédents structurels, les exploitations doivent désormais trouver les terres pour éprendre les déjections animales qu’elles produisent), et la pression de l’urbanisation, rentrent directement en concurrence pour l’accès au foncier avec les jeunes agriculteurs désirant s’installer.
Sur 100 ha qui se libèrent aujourd'hui, 40 ha partent à l'agrandissement, 10 ha partent à l'urbanisation, et il ne reste plus que 50 ha pour l'installation (Lefebvre, 2006).
Consultez l'extrait des actes des rencontres nationales des Civam (2006) sur la problématique de l'accès au foncier.